And it's HARD to do slow science, because all the pressure is to do MORE and FASTER. But thankfully there are many voices around the world pushing for a recalibration of academia, to do BETTER science.
Thank you for sharing your experience. I found myself in situations very similar to yours. Fortunately my sabbatical year in Montreal, under your supervision, restored me.
Thanks Fernando! Part of my aim with this and other blog posts is to help share stories or ideas that can then be shared with others, so that collectively we can change our respective academic cultures for the better.
En tant qu'étudiante qui a fait un retour aux études dans la trentaine pour changer de domaine (activité physique/santé publique), je trouve cela extrêmement difficile de maintenir un équilibre de vie, et je ne suis qu'à la maîtrise. La pression est constante, surtout si on veut continuer au doctorat: développer son projet de mémoire, participer à d'autres projets de recherche, écrire des articles, s'impliquer dans des comités, conduire sa recherche, participer à des congrès, s'impliquer dans la vie de labo... La charge est si grande que cela prend toute la place, et le mot d'ordre est qu'il est impossible d'être financé au doctorat ni d'avoir de carrière si on ne fait pas tout cela... On fait tellement d'heures pour si peu de reconnaissance et de salaire, même avec les bourses des organismes subventionnaires.
Le burnout étudiant est également tellement fréquent et symptomatique de cette culture académique qui oublie l'être humain derrière la production de savoirs. Oui, il faut ralentir. Mais comment fait-on quand notre carrière n'est pas établie, et que les attentes du système qui nous évalue sont toujours plus grandes?
And it's HARD to do slow science, because all the pressure is to do MORE and FASTER. But thankfully there are many voices around the world pushing for a recalibration of academia, to do BETTER science.
Dear Bryn
Thank you for sharing your experience. I found myself in situations very similar to yours. Fortunately my sabbatical year in Montreal, under your supervision, restored me.
Best regards,
Thanks Fernando! Part of my aim with this and other blog posts is to help share stories or ideas that can then be shared with others, so that collectively we can change our respective academic cultures for the better.
En tant qu'étudiante qui a fait un retour aux études dans la trentaine pour changer de domaine (activité physique/santé publique), je trouve cela extrêmement difficile de maintenir un équilibre de vie, et je ne suis qu'à la maîtrise. La pression est constante, surtout si on veut continuer au doctorat: développer son projet de mémoire, participer à d'autres projets de recherche, écrire des articles, s'impliquer dans des comités, conduire sa recherche, participer à des congrès, s'impliquer dans la vie de labo... La charge est si grande que cela prend toute la place, et le mot d'ordre est qu'il est impossible d'être financé au doctorat ni d'avoir de carrière si on ne fait pas tout cela... On fait tellement d'heures pour si peu de reconnaissance et de salaire, même avec les bourses des organismes subventionnaires.
Le burnout étudiant est également tellement fréquent et symptomatique de cette culture académique qui oublie l'être humain derrière la production de savoirs. Oui, il faut ralentir. Mais comment fait-on quand notre carrière n'est pas établie, et que les attentes du système qui nous évalue sont toujours plus grandes?
Merci, déjà, d'en parler!
Loved the slow science concept!
A reminder that as a system gets into the fast mode, its health and that of the people it serves become questionable.