Discussion about this post

User's avatar
Bryn Williams-Jones's avatar

And it's HARD to do slow science, because all the pressure is to do MORE and FASTER. But thankfully there are many voices around the world pushing for a recalibration of academia, to do BETTER science.

Expand full comment
Marianne Laliberté's avatar

En tant qu'étudiante qui a fait un retour aux études dans la trentaine pour changer de domaine (activité physique/santé publique), je trouve cela extrêmement difficile de maintenir un équilibre de vie, et je ne suis qu'à la maîtrise. La pression est constante, surtout si on veut continuer au doctorat: développer son projet de mémoire, participer à d'autres projets de recherche, écrire des articles, s'impliquer dans des comités, conduire sa recherche, participer à des congrès, s'impliquer dans la vie de labo... La charge est si grande que cela prend toute la place, et le mot d'ordre est qu'il est impossible d'être financé au doctorat ni d'avoir de carrière si on ne fait pas tout cela... On fait tellement d'heures pour si peu de reconnaissance et de salaire, même avec les bourses des organismes subventionnaires.

Le burnout étudiant est également tellement fréquent et symptomatique de cette culture académique qui oublie l'être humain derrière la production de savoirs. Oui, il faut ralentir. Mais comment fait-on quand notre carrière n'est pas établie, et que les attentes du système qui nous évalue sont toujours plus grandes?

Merci, déjà, d'en parler!

Expand full comment
7 more comments...

No posts